Le khalife de Pire Serigne Mame Abdou Cissé, recevant, mardi, le ministre de l’intérieur et de la Sécurité publique, Jean Baptiste Tine, a réaffirmé son attachement aux autorités actuelles du pays.
« Ce déplacement est un honneur. Qui connaît le travail quotidien du ministre de l’Intérieur, peut imaginer le calendrier chargé qui le caractérise. Ce sont ses services qui nous permettent de dormir tranquillement, en veillant sur la quiétude de tous nos compatriotes », a relevé Serigne Mame Abdou Cissé. Il était entouré de membres de la famille Cissé, en plus du maire de Pire, Mamadou Ndoye Bane.
Le Khalife a également renouvelé son soutien total au président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye, à son premier ministre Ousmane Sonko, ainsi qu’à l’ensemble des membres du gouvernement, à qui il conseille de “poursuivre l’immense chantier du développement qu’ils ont démarré ».
Il a rappelé le rôle historique de Pire dans l’éveil islamique au Sénégal, en tant qu’un des premiers foyers religieux du Sénégal, fondé en 1603.
“Tous les grands érudits du Sénégal sont passés par ici », a-t-il souligné. “Pour faire tomber la dynastie des Dénianké, Abdou Khadre Kane et Thierno Souleymane Baal sont partis d’ici, en 1776 », a-t-il poursuivi. D’où ce qu’il convient d’appeler “le complot de Pire ».
Selon lui, ce foyer religieux situé non loin de celui de Tivaouane, reste “un exemple de cohabitation religieuse », où aujourd’hui encore, il est impossible d’y distinguer mourides et tidianes. “Même le comité d’organisation du gamou est géré par un disciple de Mame Cheikh Amadou Bamba Mbacké », a relevé le religieux, qui est un ancien diplomate de la République du Sénégal.
Jean Baptiste Tine a fait part au Khalife de la volonté du chef de l’Etat de raffermir sa relation avec tous les foyers religieux du Sénégal.
L »’innovation majeure » des nouvelles autorités de doter le Sénégal d’une direction des affaires religieuse et de l’insertion des diplômés en arabe, s’inscrit dans cette optique, a-t-il dit.
Le ministre de l’Intérieur a, en outre, salué le “comportement exemplaire » des Sénégalais lors des élections législatives du 17 novembre 2024.
“Tout ce qui préoccupe le gouvernement, avec à sa tête le chef de l’Etat et son Premier ministre, reste le développement du Sénégal, et nous comptons sur vos prières et votre accompagnement, pour l’atteindre, au bénéfice exclusif de tous les compatriotes », a rassuré l’officiel.
Il dirigeait une délégation comprenant des autorités locales, dont le gouverneur de la région de Thiès, Saer Ndao, le préfet du département de Tivaouane Mamadou Guèye et le sous-préfet de Pambal, Abdoulaye Diallo.
« Ce déplacement est un honneur. Qui connaît le travail quotidien du ministre de l’Intérieur, peut imaginer le calendrier chargé qui le caractérise. Ce sont ses services qui nous permettent de dormir tranquillement, en veillant sur la quiétude de tous nos compatriotes », a relevé Serigne Mame Abdou Cissé. Il était entouré de membres de la famille Cissé, en plus du maire de Pire, Mamadou Ndoye Bane.
Le Khalife a également renouvelé son soutien total au président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye, à son premier ministre Ousmane Sonko, ainsi qu’à l’ensemble des membres du gouvernement, à qui il conseille de “poursuivre l’immense chantier du développement qu’ils ont démarré ».
Il a rappelé le rôle historique de Pire dans l’éveil islamique au Sénégal, en tant qu’un des premiers foyers religieux du Sénégal, fondé en 1603.
“Tous les grands érudits du Sénégal sont passés par ici », a-t-il souligné. “Pour faire tomber la dynastie des Dénianké, Abdou Khadre Kane et Thierno Souleymane Baal sont partis d’ici, en 1776 », a-t-il poursuivi. D’où ce qu’il convient d’appeler “le complot de Pire ».
Selon lui, ce foyer religieux situé non loin de celui de Tivaouane, reste “un exemple de cohabitation religieuse », où aujourd’hui encore, il est impossible d’y distinguer mourides et tidianes. “Même le comité d’organisation du gamou est géré par un disciple de Mame Cheikh Amadou Bamba Mbacké », a relevé le religieux, qui est un ancien diplomate de la République du Sénégal.
Jean Baptiste Tine a fait part au Khalife de la volonté du chef de l’Etat de raffermir sa relation avec tous les foyers religieux du Sénégal.
L »’innovation majeure » des nouvelles autorités de doter le Sénégal d’une direction des affaires religieuse et de l’insertion des diplômés en arabe, s’inscrit dans cette optique, a-t-il dit.
Le ministre de l’Intérieur a, en outre, salué le “comportement exemplaire » des Sénégalais lors des élections législatives du 17 novembre 2024.
“Tout ce qui préoccupe le gouvernement, avec à sa tête le chef de l’Etat et son Premier ministre, reste le développement du Sénégal, et nous comptons sur vos prières et votre accompagnement, pour l’atteindre, au bénéfice exclusif de tous les compatriotes », a rassuré l’officiel.
Il dirigeait une délégation comprenant des autorités locales, dont le gouverneur de la région de Thiès, Saer Ndao, le préfet du département de Tivaouane Mamadou Guèye et le sous-préfet de Pambal, Abdoulaye Diallo.
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