Le secrétaire à la communication de Pastef, El Malick Ndiaye, dans une déclaration publiée le 2 mars 2025, est revenu sur l’impact de la gouvernance du régime. Pour lui, ces deux symbolisent l’éveil d’un continent, la promesse d’une Afrique unie, forte et solidaire.
En mars 2024, l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, avait démarré le Ramadan à la prison du Cap Manuel. Il a été libéré le 15 mars 2024 avant de remporter la présidentielle du 24 mars de la même année. Profitant de ce contexte, le secrétaire national à la communication de Pastef, El Malick Ndiaye, est revenu sur l’impact de l’élection du Président dans une déclaration intitulée : « Diomaye Mooy Sonko : la révolution sacrée qui a bouleversé le destin du Sénégal et inspiré l’Afrique ».
Dans la déclaration, publiée dimanche 2 mars 2025, l’actuel président de l’Assemblée nationale indique que le duo Diomaye-Sonko « symbolise, par ailleurs, l’éveil d’un continent, la promesse d’une Afrique unie, forte et solidaire ». « Panafricains engagés, la lutte que nous menons est aussi une lutte pour une Afrique débarrassée de la prédation et restaurée dans sa dignité et son honneur. Notre vision commune dépasse les réformes institutionnelles et porte une transformation profonde : celle d’une vision individualiste vers une vision d’ensemble, dans un pays qui croit encore aux idéaux de justice et de dignité », souligne M. Ndiaye.
Ce dernier insiste sur le fait que l’engagement du président Bassirou Diomaye Faye « rejoint celui des leaders et des peuples africains épris de liberté, conscients que l’avenir du continent repose sur la souveraineté économique, politique et culturelle ». Revenant sur les péripéties politiques de l’actuel Président et de son Premier ministre, El Malick Ndiaye a expliqué que « leur parcours dépasse le simple récit d’une conquête du pouvoir : ils incarnent l’espoir, la résilience et la dignité d’un peuple en quête de justice ». Pour lui, « 2024 n’était pas une alternance, mais une véritable révolution ». « Au-delà du Sénégal, c’est toute la jeunesse africaine qui s’est reconnue dans ce magnifique combat pour la souveraineté. Un combat qui s’inscrit dans une dynamique panafricaine, celle d’une Afrique debout, maîtresse de son destin, refusant désormais les chaînes de l’asservissement et du fatalisme. En lançant le slogan « Diomaye Mooy Sonko », nous étions loin d’imaginer l’ampleur qu’il prendrait », écrit M. Ndiaye. Il souligne que « ce qui semblait être une simple formule a rapidement pris de l’ampleur pour devenir un cri de ralliement, la devise de la lutte pour la liberté et le symbole de la détermination pour le changement ».
Source : Le Soleil
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