Le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, Mme Khady Diène Gaye, a tenu, hier, mardi 15 avril, une réunion d’évaluation sur la préparation des athlètes sénégalais engagés pour les Jeux olympiques de la jeunesse « Dakar 2026 ». Cette rencontre s’est tenue en présence du directeur général des Sports Mamalay Mbaye et des directeurs techniques nationaux des fédérations sportives engagées dans cette compétition ainsi que les services concernés au niveau du ministère.
« Le ministère de la Jeunesse, des Sports et de la Culture a convié les fédérations dont les disciplines sont au programme des Joj pour procéder à une évaluation des stages qui étaient tenus dans le premier trimestre du programme de préparation des athlètes », a fait savoir Mamalay Mbaye, directeur général des Sports. Selon lui, les fédérations nationales sont revenues lors de cette rencontre sur les stages organisés durant cette période, sur les points forts et les points faibles à améliorer après cet exercice d’évaluation des stages du premier trimestre. « Il est toujours bon d’évaluer pour améliorer les choses. Car le Sénégal veut réussir le pari de la participation de nos athlètes aux Joj Dakar 2026. Sur le volet organisation, l’État et les autres acteurs y travaillent, mais il est très important qu’on s’oriente aussi sur la préparation de nos athlètes », a expliqué le Directeur général des Sports. Et d’ajouter : « Les Joj constituent un événement planétaire, avec des athlètes qui viendront de tous les continents. Il serait bon que les athlètes sénégalais soient à la hauteur des attentes ». En effet, plusieurs fédérations qui ont organisé des stages de préparation ont souligné la nécessité d’améliorer l’environnement, l’encadrement, mais aussi les conditions de préparation des athlètes.
« Il y a pas mal de difficultés qui ont été soulevées par certaines fédérations et nous allons ensemble les prendre en charge afin d’améliorer les prochains stages. Je rappelle qu’il y a un programme annuel qui a été arrêté et un budget d’un milliard a été dégagé par l’État du Sénégal pour prendre en charge cette préparation », a renchéri Mamalay Mbaye, qui a souligné par ailleurs que les ressources allouées n’avaient pas été disponibles au moment prévu et que certaines fédérations avaient eu du mal à démarrer leurs préparations. « Mais actuellement, ils ont pu ajuster leur calendrier et pratiquement bon nombre d’entre elles ont pu corriger et tenir les stages comme prévu », assure Mamalay Mbaye.
Source : Le Soleil
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